LE PORTRAIT DE M’MAN TINE COMME UN RȎLE MODÈLE DE MÈRE DANS LA RUE CASES-NÈGRES DE JOSEPH ZOBEL

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1-5 chapters |




RESUMÉ

Dans ce travail, nous avons porté notre attention sur Joseph Zobel à travers son roman, La Rue Cases-Nègres. Zobel peint, M’man Tine comme un personnage légendaire. Et puis, nous avons bien analysé la situation misérable de cette femme, et des paysans qui vivent dans la servitude, la pauvreté, et l’analphabétisme. Ce qu’on veut savoir  est : pourquoi les gens vivent dans la misère, la servitude,  l’analphabétisme  et  l’abus  de l’enfant.    Ainsi,  comment  on peut  surmonter  ces obstacles à la destinée de l’enfant dans notre société.

La raison pour la quelle nous avons choisi le roman de Joseph Zobel  La Rue Case-Nègres,   est d’étudier : Les   rôles  de la mère  et d’examiner  les caractéristiques    de M’man Tine  comme modèle.  Et ce qu’elle propose  pour améliorer  l’avenir  de l’enfant  et aussi  comment  on peut surmonter les plusieurs obstacles de la vie. Pour bien analyser ce travail, nous avons adopté des méthodologies : socio critique et psychanalytique.   Dans ce mémoire, nous  avons    révélé    les caractéristiques de M’man Tine comme modèle. La vision de mère envers l’avenir de l’enfant, les rôles  de mère pour le développement sociale, et économique de son enfant. Nous avons noté que M’man Tine,  est différente d’autres mères  de son  époque  dans La Rue cases-Nègres. Elle est un rôle modèle, sa manière d’élever son enfant  est différente de celle d’autres mères dans la rue cases-Nègres. Nous avons aussi présenté la grandeur de cette vieille et sage femme. Sa volonté  de fer pour  améliorer la situation  et l’avenir  de son petit-fils. Nous avons relevé les conséquences de manque de l’éducation de l’enfant  et aussi les remèdes aux problèmes dans la société.

L’auteur à travers son personnage, M’man Tine a montré que l’homme ou la femme, doit prendre son  destin en main  pour améliorer son sort dans la vie, et pour le développement économique, politique et social de sa société.

0.1       INTRODUCTION

L’œuvre de l’écrivain est considérée comme le reflet des réalités de la société qu’il choisit de peindre. Pourtant, les écrivains antillais attiraient l’attention sur la condition sociale des classes ouvrières et les  conditions misérables  dans lesquelles vivent les paysans.

En général, le paysan n’a pas d’image très claire sur lui-même, il se trouve partagé entre deux réalités du monde africain et du monde européen. En même temps il est affecté toujours par le stigmate du passé de l’esclavage. Ce passé commun s’est manifesté aujourd’hui dans la servitude économique.

La mentalité de paysan est affectée par la société où il vit dans la servitude, l’ignorance, et    la faim. Le paysan essaie de lutter contre ces obstacles de la vie. Donc il cherche des  solutions possibles pour améliorer sa vie et prendre sa liberté.

Dans la littérature antillaise, le personnage féminin jouait un rôle important, et ses contributions dans la vie constituent  un élément  essentiel  de la littérature  antillaise.  Elle  devient  sujette  à l’action au lieu d’en demeurer l’objet, parfois

         elle est victime de l’ignorance

         elle est victime de  viol : par leur maître dans la plantation de canne à sucre.

          Elle est victime de guerres, esclavage et douleur.

Par exemple, dans le  roman de l’auteur antillaise Maryse Condé (Moi, Tituba sorcière, noire de

Salem ,1986) son personnage féminin était victime d’esclavage:

Abena, ma mère un marin anglais la viola, Sur le pont du christ the king […]

Elle n’avait surement pas plus de seize ans Darnell Davis l’acheta très chère (Tituba 13-14).

Mais  le personnage  féminin  est  le caractère  solide.  Elle  prend  conscience  de  sa  situation  et dénonce  l’oppression  morale,  religieuse,  économique  et politique  à laquelle  elle  est  soumise quotidiennement. Selon Maryse Condé dans son œuvre La parole des femmes (1993) :

On exalte la femme comme porteuse de dons, dispensatrice de bien (Parole 41).

La femme lutte contre cette ancienne représentation dominante, limitative et paternaliste, et  un rejet du stéréotype de la femme faible ou victime. Plutôt que de pleurer, elle préfère de lutter. Et il semble que les femmes s’intéressent aux problèmes de la société. Elles pensent au   problème de couleur, des rapports avec les hommes, des enfants, du racisme, de l’exploitation et de l’avenir de leurs                                                                                                                                       enfants.

Si l’on considère la femme dans sa diversité, on pourrait dire qu’elle est l’être le  plus authentique, et que sa condition est aussi un reflet de la situation politique et économique où se trouvent les Antilles.  Dans cette étude, notre choix se porte sur un écrivain antillais Joseph Zobel et son roman la Rue cases-Nègres (1974).

0.2 Objectif de l’étude

Ce  travail  vise  à  une    contribution  modeste  à  l’avancement  de  la  recherche  en  littérature antillaise ; à examiner la situation des paysans et la grandeur du peuple dans la société  antillaise, en même temps qu’il essaie de faire un portrait de M’man Tine comme une mère idéale. Et puis, montrer sa vision, sa manière d’élever son petit enfant qui est différente de celle d’autres mères dans la rue cases-nègres.  Pour exposer les qualités et l’attitude de M’man Tine comme un modèle de mère, envers l’avenir de son enfant. Ce travail sera un encouragement pour les autres mères, les hommes et pour tout le monde d’assurer que, leurs enfants aient avoir  un bon avenir.

0.3 Méthodologie de l’étude

Pour  bien  réaliser  ce  travail,  on  a  adopté  des  méthodes  différentes : Sociocritique  et psychanalytique. Ce travail essaie d’analyser la perception de la grandeur de M’man Tine   dans La Rue Cases-Nègres de Joseph Zobel. C’est un travail qui se divise en quatre chapitres. Dans le premier, on va donner une brève marche historique de la littérature antillaise. On va donner aussi une biographie de l’auteur de l’œuvre étudiée. Le deuxième chapitre présente les rôles de M’man Tine : rôle de procréatrice, d’éducatrice, et de moralisatrice de l’enfant. Dans le troisième   nous allons  examiner  les  caractéristiques  de    M’man  Tine  comme  modèle  de  mère.  Et  puis,  la conclusion et des références bibliographiques.

CHAPITRE UN

1.0  LA LITTERATURE ANTILLAISE

La littérature est la représentation de la société et tout ce qui s’y passe. Dans cette société existe l’homme et tout ce qui l’entoure. La littérature essaie d’analyser la situation de cet homme, qui parfois vit à la merci des forces inéluctables,  qui n’incitent qu’une réaction  de  la part de cet homme.  Quoi qu’il arrive,  la littérature  sans  engagement  ne  peut pas  pénétrer  la conscience humaine.

La littérature antillaise est un résultat de l’existence d’une race des descendants des esclaves noirs.

Ces descendants des esclaves antillais ne peuvent plus vivre sous le traitement et l’injustice de la part des maîtres blancs  qui se présentent comme supérieurs aux noirs.

C’est une lutte marquée dans des pays noirs différents,  particulièrement,  en Haïti,  Martinique, Guadeloupe, ainsi de suite dominés par la race noire.

Selon  Angrey  Unimna,  dans  le  roman  de  Maryse  Condé  et  les  perspectives  d’avenir  des Antilles(2008):

A quelques  exceptions  près, les Antilles sont   tous des descendants  d’esclaves,  ou  des descendants de maîtres, c’est-à-dire les descendants de groupes raciaux et économiques qui avaient intérêt soit à faire intervenir un changement radical, soit à maintenir de force un statu quo favorable à la minorité (Angrey 6)

Dans l’histoire,  les colonies  françaises et les îles antillaises  ont connu  une grande  population d’illettrés réduits à une vie misérable, qui sont corvéables et à la merci de la vie prolétaire. Cette population, certes, est de l’origine créole. Dans cette société aussi existe un pourcentage mineur des mulâtres et des Blancs qui parle le français et qui déteste  l’existence du créole. C’est une pratique  qui  démoralise  une  tradition  littéraire  pour  promouvoir  la  culture  admirée  par  la population  majoritaire  indigène.  La  tradition   littéraire  favorise  seulement  la  minorité  (les mulâtres)  qui représente  la culture  française,  pourtant,  les écrivains  antillais  essaient  donc de pratiquer et  de suivre le  système français. C’est un choix pour promouvoir le goût littéraire de la France tandis que l’identité antillaise et son patrimoine culturel souffrent la disparition.

La nature engagée de la littérature lui donne une image militante, et de génération en génération augmente la pression et la moralité noire. Les écrivains antillais de la  génération  dévorée par l’imitation de la culture française sont à un moment donné oubliés,  et le monde noir subit une réformation littéraire causée par un groupe de jeunes étudiants Martiniquais à Pairs. Ils ont décidé de refuser les restrictions et le mépris de leur racine  imposé sur eux par la culture et l’autorité française. Ils ont décidé de ne plus promouvoir la civilisation occidentale. Dans cette tentative, ils ont réalisé la revue légitime Défense. Cette revue est un grand sucées qui a touché le monde noir ; les Antilles françaises et l’Afrique, même leurs littératures. C’est une pratique violente de nature

littéraire qui attire l’attention du grand public sur les maux de la domination européenne. Selon

L’aire de la littérature négro-africaine recouvre donc non seulement  l’Afrique au sud du Sahara, mais tous les coins du monde ou se sont établies des communautés de Nègres, au gré d’une histoire mouvementée qui arracha au continent plus de cent millions d’hommes et les transporta outre-océan, comme esclaves dans les plantations de sucre et de coton. Du sud  des  Etats-Unis,  des  Antilles  tant  anglaises  que  françaises,  de  cuba,  de  Haïti,  des Guyanes, du Brésil, rejaillit aujourd’hui en gerbes l’écho de ces voix noires qui rendent à l’Afrique  son  tribut  de  culture ;  chants,  danses,  masques,  proses,  poèmes,  pièces  de théâtre ; dans tous les modes d’expression humaine s’épanouissent des œuvres marquées du génie de l’Afrique  traditionnelle  et des ses racines autant que de la vigueur de ses greffes (Kestloot 10).

Cette  revue  s’adresse  aux  Antillais ; elle  fait  appel  à  leur  identité,  fierté,  à  leur  conscience d’antillais, à leur esprit d’auto-détermination,  à leur nationalisme et enfin à la révolte. Donc les écrivains antillais ont commencé d’écrire avec l’expression de la réalité du peuple antillais.

Joseph Zobel fait partie de la nouvelle génération d’écrivains antillais qui est amourachée de sa racine et d’avenir de l’homme de la diaspora. Dans ses œuvres, Joseph Zobel  exprime la situation douloureuse ; le viol, la souffrance et l’humiliation des noirs dans son pays Martinique.

1.1     Vie de Joseph Zobel

Joseph Zobel est né à Rivière-salée le 26 avril 1915. Il est romancier, poète et sculpteur martiniquais, considéré comme l’un des auteurs les plus` significatifs de la  littérature antillaise. Elève brillant, soutenu par l’amour inconditionnel de sa famille, au lycée il quitte petit-Bourg, ou il était élève par sa grand-mère Man Tine, ouvrière agricole. Il ira rejoindre, man Dèlai, a Fort-de- France, qui est forcée de travailler comme nourrice dans  une  famille de Békés. C’est au lycée Schœlcher  qu’il  suivra  ses  cours  grâce  à  une  bourse  modeste  hui  permettant  d’obtenir  son baccalauréat.

Le Jeune bachelier se tourne vers un premier emploi au service des ponts et chaussées. En poste dans les villages du Diamant  et du Saint-Esprit,  Joseph Zobel découvre,  au  contact des pécheurs du Diamant, un mode de vie empreint des valeurs du monde qu’il a connu ‘à l’intérieur des terres.

Les débuts de l’écrivain

La seconde  guerre mondiale,  imposant  un blocus aux Antilles  françaises,  interdit  tout projet de d’épart vers l’Hexagone. Joseph Zobel travaille alors comme aspirant répétiteur. Puis maitre d’internat au lycée Schœlcher. Il écrira quelques nouvelles qui mettent en sciène les us et coutumes martiniquaise.

En 1946, Joseph Zobel arrive ‘a paris et s’installe avec son épouse et ses trois enfants ‘a l’enseignement au lycée François l’er. Il aimait partager son temps entre l’écriture, la sculpture et une passion pour l’art floral  Japonais sa vie et son œuvre ont été une quête de la Beauté’, c’est l’a qu’il s’est mis ‘a écrire La Rue Cases-Nègres pour se replonger dans son enfance.

En 1950, il a publie’ pour la première fois son roman La Rue cases-Nègre reçoit le prix des lecteurs, décerne par un jury de 1000 lecteurs de la gazette des lecteurs, le roman connait un

grand succès, renforce’ trente ans plus tard quand la réalisatrice Guzman Palcy en tirera un film du même nom (la réalisatrice obtient le lion d’Argent à la Mostra de Venise en 1982).

La Rue Cases-Nègres est sans doute une autobiographie de l’auteur  dont Joseph Zobel a merveilleusement raconté la vie et al nostalgie de la Martinique, c’est probablement grâce à un personnage centra qui a joué un rôle déterminant dans son existence. Sa grand-mère, ce roman la rue case nègre est un hommage pour sa grand-mère et son pays Martinique.

Lexpérience africaine:

En 1957, par son désir de connaitre l’Afrique,  Joseph Zobel profite de ses  nombreuse relations parmi les sénégalais de paris et est recruté par le ministre sénégalais  de l’Education Amadou  Matar  M’bow,  comme  directeur  du  Collège  de  Zighinchor     (actuellement  lycée Djignabo) en Casamance,  installe finalement a Dakar comme  surveillant général du lycée Van Vollen, il devient quelques années plus tard producteur d’ émissions éducatives et culturelles à la Radio, du Sénégal, dont il crée le service culturels, les émissions de Joseph Zobel seront écoutées dans toute que occidentale francophone.

Quelques anecdotes de sa vie dakaroise sont relatives donas les recueils de nouvelles mas

Bandara  (1983) et «Et si la mer n’était pas bleue (1982)».

La retraite, dernières publications

Depuis  sa  retraite  en 1974,  Joseph  Zobel  a poursuivi  son travail  littéraire  de  façon originale en réécrivant ses romans; les jours immobiles devenant les mains pleines d’oiseaux et la fête à paris devenant quand la neige aura fondu.

En 1995, Joseph Zobel publie à compète d’auteur d’Amour et de silence, un livre d’art

combinant  poèmes inédits, extraits de son journal personnel et aquarelle,  l’auteur, par  ailleurs maitre en art floral japonais (Kebana) a en effet appris l’aquarelle, auprès du maitre coréen Ung No Lee (Seoul 1904 paris 1989). Les deux derniers livres de Joseph Zobel ont été’ publies en

2002, Geral et autres nouvelles rassemble cinq nouvelles inédites et des extraits de son journal, en de 1946 à 2002: le soleil m à dit rassemble, son œuvre poétique complète, composée de recueils publiés à compte d’auteurs et de poèmes inédits.

Importance littéraire

Joseph Zobel ne semble pas avoir reçues milieux universitaires  et littéraires  l’attention réservée aux auteurs du mouvement de la créolité. (Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant, Jean Bernabe).

Cependant, une analyse objective des thèmes et des procède de ses permiennes apeurés révèle pourtant qu’il peut être identifie comme un des précurseurs de la créolité, d’une part du fait de la simple vertu de son Project d’expression de l’âme populaire martiniquaise, et d’autre part par certains procèdes de langage apparaissant dans Diab’la et La Rue Cases-Nègres.

Joseph Zobel a su donner à ses textes une puissance d’évocation qui explique que ses romans, profondément humanistes, Soient aujourd’hui, Considères comme des classiques de la littérature martiniquaise. Joseph est mort en juin 2006.

1.2       Oeuvres de Joseph Zobel

Les romans

Les jours immobiles (1946) Diab’la (1947)

La Rue Cases-Négres (1950) La fête à Paris (1952)

(Repris et publie sous le titre) les mains pleines d’oiseaux (1978) Quand la neige aura fondu (1979)

La Nouvelles

Laghia de la mort (1978-1996) Le soleil partagé (1964-1984) Mas Badara (1983)

Et si la mer n’était pas bleue (1982)

Gertal et autres nouvelles, suivi de journal (1946-2006)

La Poésie

Incantation pour un retour au pays-natal (1964) Poèmes de moi-même (1984)

D’Amour et de silence (1994)

Le soleil m’a dit (2002)

1.3  Résumé du texte de base

La Rue Cases-Nègres  est un roman autobiographique de Joseph Zobel, dont l’action se déroule en Martinique dans les années 1930. Paru en 1950, ce roman raconte le quotidien d’un enfant noir, qui découvre l’école, et de sa grand-mère dans les plantations de canne à sucre. C’est l’histoire d’un enfant, un produit du rêve maternel, qui représente la lutte de sa grand-mère  contre la situation misérable des paysans antillais.  Une pauvre vieille  nègre qui a souffert le viol, la frustration et l’affrontement racial de la part des maîtres Blancs (békés) à la plantation, et qui a l’intention de protéger son petit-fils de ce qu’elle a souffert.

Le narrateur est José, un enfant noir vivant dans les champs de canne à sucre. Il vit à petit

Morne (un bourg de Rivière-Salée) et, plus précisément, dans la rue cases-Nègres.

José  est  élevé  par  sa  grand-mère,  qu’il  surnomme  M’man  Tine.  Sa  mère  est  partie travailler  en ville à Fort-de-France.  Jose,  avec tous les petits enfants  du bourg,  quand  ils ne travaillent pas encore aux champs passe ses journées à trainer dans la rue à s’amuser.

Après, leurs enfants ont commis une grosse bêtise, leurs parents décident des les emmener travailler  aux  champs  avec  eux.  M’man  Tine  refuse  de  faire  trimer  son  petit-fils  dans  les plantations,  et nourrit l’espoir qu’il sorte de cette vie en allant à  l’école.  Elle l’inscrit donc à l’école située dans le bourg voisin, nommé petit-Bourg,  l’école joue un rôle prépondérant dans cette  société  encore  largement  coloniale.  José  devient  bon  élève  à  l’école  si  bien  que  son professeur l’encourage à entrer au lycée à Fort-de-France. Il ressaisit le concours et doit envisager la vie en ville.  Il s’éloigne un peu à contre cœur de M’man Tine qui mourra peu de temps après

José n’aura pas le temps de la revoir avant sa disparition. En ville, il se fait de nouvelle connaissance bien différente de celles de son ancien village. José lit beaucoup. Il délaisse le lycée lorsqu’il se retrouve seul dans sa case. M’man Délia a trouvé un nouveau travail de domestique dans une maison bourgeoise de la Route Didier. José s’y fait  également de nouveaux amis qui vont lui changer la conception des choses. Il réussit malgré tout son bac mais sa perception de la société et du monde a beaucoup changé.



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